Le Temps contre la honte

On m’a souvent demandé… Well, laissez-moi faire une petite intro… Je veux dire, on ne m’a pas souvent demandé « Well, laissez-moi faire une petite intro… »é, d’autant que ça n’est pas une question, mais laissez-moi faire une petite intro… Je ne voudrai pas hausser le ton mais, vous me suivez ou pas ? Non, parce que moi-même j’ai du mal ; sang pour autant préciser que se suivre soi-même est d’une difficulté notable. Vous suivez ? Bon au lieu de tenter vainement de me suivre, tentez seulement de suivre la lecture de ce texte et, alors… quelle est vôtre conclusion, là ? Je vous laisse le temps de cette phrase et quelques secondes pour y réfléchir.
Inutile de tricher, vous êtes pris dans une boucle temporelle dont vous ne pouvez vous extraire qu’après réflexion après ce point.
Tricheur ! Bref, la réponse c’est: Nous n’avons encore parler de rien ! Ah. Ah.

Presque deux faces d’une feuille A4, pour ça.
Excellent.
Mais enfin je voulais vous amener-là. Afin d’éclairer ce point. Ah. Ah. Décidemment. Je ne précise pas les éléments de cette blague car je n’écris pas pour les 3-8 ans ! Et non, ce ne sont pas la terre, l’eau, le feu et le vent. Lourds que vous êtes !

Revenons-en au titre. « Le Temps contre la honte ». Il est tout indiqué que le Temps semble chasser la honte. Développons. Donc, à une époque relativement récente, il m’a souvent été demandé « est-ce pire ? » comme s’il était intéressant de savoir si mes situations étaient de pis en pis. Et je répondais. Comble du comble. Puis je suis sortis de tout ça, et je me suis rendu compte que, vraiment, le pire ça n’était ni moi, ni mes situations. Et que le pire était ailleurs…

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