Pourquoi pas moi ?

Les gens normaux vous le diront tous, « évidemment ! C’est d’une logique imparable, jamais je ne violerai ! » qui pourrait alors douter de cette parole énoncée par un honnête citoyen ?
Aucun autre, citoyen, veux-je dire. Vous qui me lisez, le pourriez-vous ? J’en doute car il apparaît évident à tout autre citoyen que le viol est une ignominie que chaque citoyen condamne.
Aucun même ne saurait en douter, la plupart ayant, moralement, toujours condamné cet acte, en vrai.
Pourtant, et c’est ce que chacun ignore, le nombre de viols est conséquent. C’est mathématiques, environ 0,2% de la population en France a déjà violé ou violera. Nous sommes 67 millions en France et 0,2% de 67 millions d’habitants, cela fait 134 000 personnes, dans les villes et les campagnes. J’entends une question à présent que je vais traduire et à laquelle je vais répondre,  » s’il en est 134 000 en France qui ont violé ou violeront, pourquoi ne pas les arrêter ? », parce que dans la plupart des cas, un violeur ne peut-être traité comme tel qu’à partir du moment où il a violé, on ne peut arrêter aucun homme ni aucune femme tant qu’ils n’ont pas commis l’acte, car jusque-là ils sont innocents, je précise à présent, j’ai écris « la plupart du temps » car parfois des violeurs sont interpellés juste avant l’acte alors que la démonstration de leurs intentions sont exprimées et peuvent donc être interpellées avant leur assouvissement et ce que l’on peut décrire comme un drame, pour les victimes tout autant qu’un crime pour celles et ceux qui agissent ainsi. Cela arrive, je dirais. Il y a aussi des réseaux de prostitution forcée qui sont démantelés. Là encore j’entends une autre question: « comment sais-tu tout ça ? « , alors je vais répondre de la manière la plus clair possible, c’est mon petit doigt qui me l’a dit. Toutefois, revenons au sujet principal, « Pourquoi pas moi ? » qui revient en une interrogation à ce que Je suis. Pourquoi est-ce que je ne violerai pas ? Je vous ai déjà montré la réponse évidente, « Jamais, cela me paraît évident ! », maintenant permettez-moi de vous présenter mon explication. Il y a toujours deux côtés dans un viol, évident, le violeur et la victime.
La victime souffre et se rétablit. Ce n’est pas le cas du violeur. Vous pensez naïvement qu’un violeur, lorsqu’il est arrêté est emprisonné, assume sa peine de prison et ressort ? Je vais vous dire quelque chose qui pourra vous choquer, la police « normale » ne s’occupe pas des viols, elle traite seulement les plaintes qu’elle distribue à la justice afin que celle-ci opère son travail et énonce un jugement. Le viol est un crime tellement grave, qu’il est traité par les services secrets, je vais vous parler de celui que je connais le mieux, la CIA, l’agence centrale de renseignement américain, la Centrale Intelligence Agency, et eux, ne font pas dans la dentelle face aux violeurs, je vais essayer d’expliquer. La CIA, comme vous le savez, dispose de « tables d’écoute », certaines personnes pensent que la CIA est exclusivement opérante en Amérique comme elle le prétend, c’est faux, elle est présente sur toute la surface du globe et opère selon les intérêts du peuple du pays opéré. Elle opère donc, aussi, en France.
La CIA combat le terrorisme, certes, mais pas que.
Et le viol fait partie de ses habilités intelligentes.
Avec tout le matériel dont elle dispose il est assuré qu’elle trouve ou trouvera tous les violeurs du pays concerné, ici la France. Je vous l’ai déjà dis, et c’est vrai, malheureusement souvent les violeurs sont vus et attrapés après l’acte. Aussi les victimes sont identifiées et tout un service dépendant à la CIA opère pour qu’elles soient réhabilitées en société. Mais il y a un autre pan attaché lui aussi à l’agence que les violeurs auraient aimé qu’il n’existe jamais. Car lorsque la CIA trouve un ou une violeuse elle est habilité à agir, intervenir et tratier, oubliez la justice, la CIA ne traite pas avec elle en ces lieux, oubliez également la prison, c’est une force trop douce pour ce que la CIA considère des violeurs.
Croyez-le ou non, lorsque la CIA identifie, arrête et isole un violeur, qu’il est trop tard pour lui, il paierait des montagnes d’or pour n’avoir jamais violé. La CIA dispose d’une palette de tortures qu’aucun à l’extérieur de l’agence ne peut vraiment imaginé. Le traitement pour un violeur qui a violé pour la première fois sans autres sévices (comme placer une victime dans une cave, une cage et l’asservir sexuellement, etc.), alors la CIA le tue à l’intérieur sans qu’aucun sevice ne soit fondamentalement vicisble l’extérieur.

Il ou Elle est également modifié chimiquement au niveau du cerveau afin qu’il ne puisse jamais reconsidérer même le fait de violer.
En fait il est asservi à lui-même. Il devient un esclave perpétuel qui ne peut demander de l’aide…
Et plus c’est grave plus les sévices sont forts, puissants, violents.
Je vous le dis en toute sincérité, il y a la façon commune de prétendre jamais devenir un violeur, car c’est l’ignominie, mais pas que… 🙂

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One Responseso far.

  1. […] souhaite pas parler de cela et puis, cela a déjà été traité dans un article précédent (« pourquoi pas moi ?« ), ici je osuhaite démontrer, vous démontrer pourquoi le violeur est 100% responsable de tout […]

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