Le contrat implicite

Aujourd’hui je me réveille avec l’idée saugrenue que le malheur des uns pour le plaisir des autres est un pacte fait entre les deux parties, consentants donc, dans le but d’élever les âmes. Pis encore, que le parti qui soit de créer du malheur à l’autre obtienne le statut de sacrifié, il aurait infligé les sévices au premier dans le but de son élévation, au premier et cela lui coûterait. Pacte défini avant la naissance dans un espace inaccessible pour l’être humain vivant sur Terre. Ce qui amène à:

Je te fais du mal, mais c’est pour ton bien, et cela me coûte.

C’est totalement déraisonnable.
Prenons le cas d’un viol. La jeune fille, de l’autre côté du miroir aurait fait un pacte avec son futur bourreau pour que celui-ci la viole afin qu’elle évolue (ressorte plus forte de cette expérience) et qu’elle s’excuse auprès de lui ou le remercie au-delà de l’acte pour son courage de l’avoir fait avec tout ce que cela pourrait entraîner de grave pour lui ; s’il se faisait attraper, par exemple. Tout comme cette scène cinématographique où Priam embrasse les mains d’Achille, lui remerciant presque d’avoir tué son fils. La perversion est énorme.

Je te fais du mal, et c’est pour ton bien, et cela me coûte.

En clair, « je te viole, remercie moi ».

Mieux, « je te viole car nous avons fait un pacte, tu étais d’accord, remercie-moi d’honorer ce pacte ».

Une question me travaille: dans cet endroit métaphysique où le pacte a été signé, nous n’y avons plus accès, n’est-ce pas ? aucune fille ou femme ne sait à l’avance quand elle sera violée, dans le cas où et en règle général le violeur se décide seulement quelques jours avant. Alors que reste-t-il de la crédibilité de cette pensée au niveau de l’acte ? Si aucun des deux parties ne s’en souvient, il est impossible d’honorer le pacte de manière consciente, (ps: si un violeur s’en souvient, qu’il nous parle de cet état métaphysique) il est assuré par la démonstration que l’on ne peut honorer un contrat que l’on ignore.

Si je ne sais pas, par contrat, que je dois acheter des pommes, je ne le ferais pas.

Sauf dans deux cas: le hasard et l’implicite.

Le hasard n’honore pas le contrat métaphysique il l’annule. Mais l’implicite qui nous amène rapidement à « c’est dans les gênes » ou « quelque chose comme ça* » *propos évasif pour ne pas formuler explicitement l’ignorance, on annule donc ce « quelque chose comme ça », trop évasif, reflet de l’ignorance ; il reste donc, « c’est dans les gênes » car, imaginons, lors du contrat dans un lieu métaphysique et étant au courant qu’aucun terrien ne sait ce qu’il y a près la mort et avant la vie, il y aurait eut, alors une injection génétique dans le corps de la future violée sauf que le corps né dans le ventre de la mère, cette théorie est encore devenue poussière. Que reste-t-il ? L’âme, l’esprit ? Bien alors parlons de l’âme, là où même les plus folles des théories peuvent fleurir. Le futur violeur et la future violée passe un pacte d’âme ou d’esprit ou des deux ? Ils inscrivent via la connaissance accrue qu’ils ont de cela dans ce Monde Métaphysique (puisque sur Terre, que savons-nous de l’âme ?) une information qui se déclarera, convenue d’un contrat, sur Terre où l’âme évoluera dans un corps portant le fait de compte-à-rebours de son propre viol que son bourreau, sacrifié par l’acte, a bien voulu faire. Il a les honneurs. Cela voudrait donc dire deux choses:
1. dans ce Monde Métaphysique on peut « programmer une âme ».
2. que la fille violée n’est plus victime mais coupable du sacrifice de son bourreau qu’elle pourra, devra remercier.
Mais comment le savez-vous ?
Puisqu’aucun des deux parties n’a et ne peut se souvenir de cet espace Métaphysique ?
Il n’existe personne sur Terre qui le fait.
Donc, vous ne le savez pas non plus.
Et au nom de vôtre liberté de croire, C’EST CELA QUE VOUS AMENEZ ?

Imbécile, perfide, raclure et de toutes mes détestations, que vous êtes !

On lui a autorisé à croire, il a légitimé le viol.

Malheureusement vôtre technique mise à jour ne tient pas. Vous êtes nus et démasqués.

Enfin, pensez et dites une fois qu’une fille, femme porte le viol en elle et vous embrasserez ma colère !

Pardon aux âmes pieuses, aux gens normaux de vous avoir fait lire les délires psychiatrique d’une personne qui aurait un jour pensé ça !

L’Intelligence a eclairé la supercherie de ce fou, il est vaincu !

Sa tête tranchée roule sur un sol, quelque part sans que personne ne le remarue, il meurt subitement sans l’indignation d’une seule âme.

Et je finirai par « vite Daesh et les autres, on a hâte de voir vôtre labo ».
Ridicule !

Enfin, permettez: « Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geoliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie »
Wikipédia.

Ce qui revient à dire, soyez assuré qu’aucune victime, ôtage et violé(eà pendant plusieurs jours n’aiment son bourreau, seulement veut-elle se faire aimer par lui pour moins souffrir, recevoir moins de coups. C’est une technique, elle drague son bourreau pour moins souffrir.

Alors je vous le demande, peuple de France et d’ailleurs…
Qu’est-ce qu’on fait du bourreau ?

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