« Je tuerai tout ce que vous avez de plus cher »

Petit et très court prélude:
La peur de perdre sa situation ou de perdre sa vie, son « déroulant », n’est-ce pas la peur du ou des terroristes ?
Ne sont-ce pas eux les voleurs de vie ?

Terre.OR.IS.teuh <-> « Je tuerai ce que tu as de plus cher ».

Fin du petit et très court prélude.

S’il est acquit que nulle être censé ne puisse aimer, aider un terroriste, pourquoi continuer alors, à parler avec eux ? Il n’est aucun accord que nous puissions trouver.
Ce sera nôtre Terre ou la leur.

Laissez un terroriste vivre, et il vous prendra tout.
Ce n’est qu’une question de temps. Lorsque les terroristes seront morts, fiers de nos nouvelles capacités, nous travaillerons alors à l’élévation de nôtre Terre. Pas avant.
Des vies. Des bâtiments, des symboles. Des patries, des nations. Ils ont attaqué.
Des vies ils ont tué ou mortifiées.
Des bâtiments ils ont détruits.
De symboles ils ont voulu prendre.
Des patries ils ont attaquées.
Des nations ils ont salies.
A côté de vous. Dans le même immeuble peut-être. Ils se pavanent croyants fermement être libre de brûler nos vies, de salir nos droits, de réclamer leur liberté de nuire, en djellaba (la soutane du terroriste) en burqa arborant leurs barbes souvent si pauvres et laides. Leurs droits sont des privations, leurs libertés des emprisonnements, leurs prises de parole des appels à l’asservissement. Qu’en est-il de positif à en tirer ? A quel moment ces terroristes ont-ils été reconnaissants envers Voltaire et le peuple de France pour sa Déclaration du Droit Humain ?

« Sans nous vous n’auriez pas gagné la Coupe du Monde en 1998 » – Jamel Debbouze.

Sans la France il n’aurait jamais été drôle. Allez donc faire rire sur les droits et les devoirs au Maroc.
Leur nourriture n’est ni bonne ni saine. Leur culture est fondamentalement inexistante. Leur livre sacré est dangereux. Leurs arts ? Quels arts ? Le cinéma terroriste ? Le théâtre, la musique terroriste ?
Il n’y a pas d’art terroriste.

Qu’ont-ils apportés à la France sinon des morts ?
La banlieue n’est plus française, elle est à eux: drogues, prostitution, armes, règlement de comptes et la police caillassée. Mettez un arabe au pouvoir vous pleurerez vôtre liberté perdue pour le reste de vôtre vie. Comprendre qu’ils sont nocifs, c’est les craindre et les craindre c’est les combattre. A qui a-t-on demander de les comprendre ? De les expliquer ? De nous les traduire ? Nous savons ce qu’une personne qui désire vous enlever ce qu’il y a de plus cher représente et de quoi il est fait. De haine et de bêtise. La haine envers ce que Nous sommes, ce que Nous représentons et ce que Nous avons bâtis et la bêtise de croire pouvoir le dire, l’exposer ou l’appliquer. S’il est un combat que l’Humain doit mener au XXIème siècle, ce n’est pas celui de voir se réduire la taxe sur le carbone mais celui d’anéantir le terrorisme.

Nos armes: le savoir, les réseaux de communication, nos familles, l’Etat, nos démocraties, nôtre ou nos intelligence mais surtout, Ne jamais les comprendre ou essayer de le faire. La fin du terrorisme ne sera pas leur assimilation dans nos écoles mais leurs corps dans les tombes de nos cimetières. Ou des leurs !

J.

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