100% responsables

L’équation du violeur est celle-ci:

→→ →→ →→ →→
x A→y B + z C + u D

Là où x= citoyen lambda où y= citoyen lambda où z= citoyen lambda et où u= situation lambda.
Et, là où A= l’état d’un violeur où B= la victime d’un viol où C= la police spécialisée aux affaires de viol et où D= la sanction appliquée au viol.

Nous aurions pû ajouter v et E pour le changement d’état de la victime mais concentrons-nous sur le violeur, là où j’ai bien stipulé que cette équation est celle du violeur et qu’elle démontre sa responsabilité à tous les niveaux. Croyez-le ou non, il arrive parfois que certaines personnes prennent le sort d’un violeur en empathie. J’ai expliqué dans un autre article ce fameux « sort du violeur » et que, au-delà de ma considération de ce que doit être un rapport amoureux, je ne souhaitais pas devenir moi-même un violeur aux égards des conséquences le concernant quant à son acte ; le sort du violeur. Mais ici je ne souhaite pas parler de cela et puis, cela a déjà été traité dans un article précédent (« pourquoi pas moi ?« ), ici je osuhaite démontrer, vous démontrer pourquoi le violeur est 100% responsable de tout ce qui arrive en conséquence à son acte. Il suffit de disséquer et d’expliquer l’équation que j’ai donné plus haut.

→→ →→ →→ →→
x A→y B + z C + u D

Le violeur avant de violer est « x », un citoyen lambda. C’est alors qu’il commet l’acte (en vérité, quelques minutes, secondes, parfois journées, avant, lorsque l’acte de viol n’a plus aucune chance d’être évité sans intervention) que son statut de citoyen lambda change et se transforme en violeur ; autrement dit, en mathématiques lorsque x devient A. Puis, A entraine tous les changement suivants y devient B, z devient C et u devient D ce qui se comprend par: Le violeur accuse en conséquences de son statut la création de la victime celle d’une police spécialisée et celle de son incarcération. Vous voulez avoir de l’empathie pour une personne qui est la seule responsable de son sort ?
Ce n’est pas comme si il subissait une injustice.
La victime subit une injustice, la police subît l’injustice de l’existence du (des!) violeur(s) mais le violeur ne subit aucune injustice, tout ce qu’il récoltera sera le fruit de ce qu’il aura planté; absolument rien ne viendra qu’il n’en soit responsable. Le violeur ne peut dire qu’une seule chose « c’est ma faute » car alors même qu’il demanderait « pardon » on lui rétorquerait « à qui ?! » puisqu’il est le seul responsable.

Qu’il se pardonne à lui-même car tout, effectivement, dans cet acte est « de sa faute », autrement dit de sa responsabilité !

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